الأربعاء، 20 نوفمبر 2019

Premiers brins de muguet , Francais,compréhension

Sophie habite avec ses parents une petite maison posée au centre d'un village de montagne. Elle n'a pas beaucoup de jardin, juste une bordure de terre noire qui protège le devant de la maison de la rue.
C'est triste, la terre noire, pense Sophie, j'aimerais bien de l'herbe verte devant ma maison avec plein de petites fleurs qui pousseraient avec le soleil du printemps.

Le soir en s'endormant elle rêve de mille fleurs qui sentent bon le miel et dont les tiges se balancent avec le vent. Elle a bien remarqué quelques paquets de graines dans les étagères avec dessinées sur le sachet, des fleurs de toutes les couleurs. Peut-être que si je semais ces graines notre petit jardin deviendrait magnifique?
Après les dernières journées de pluies, le sol est bien humide: je vais semer toutes ces graines se dit Sophie. Je ferai ainsi une magnifique surprise à maman pour le mois de Mai.
C'est le moment de sortir la pèle, le râteau de plage et le petit arrosoir soigneusement rangés depuis l'été dernier. Avec ardeur Sophie commence à racler la terre pour sortir quelques méchants cailloux qui encombrent la bonne terre. 
Elle a déjà vu semer dans les champs et sait qu'il faut bien étaler les graines pour qu'il y en ait partout la même quantité. Elle a même découvert quelques racines d'une plante que maman avait achetée et qu'elle n'avait pas eu le temps de mettre dans la terre. Lorsque tout est bien semé, planté, elle admire avec satisfaction son travail en poussant un grand soupir d'aise.
Ce soir, Sophie est épuisée par son jardinage et se couche plus tôt que d'habitude. Elle rêve dans son sommeil lourd de vilains moutons qui arrivent pour brouter ses fleurs. 
 "Allez vous en, vilains  moutons, vous abîmez mon jardin."
Dès le matin, inquiète, elle se précipite pour examiner son petit coin de terre; tout va bien, pas de moutons ... Mais des oiseaux qui picorent quelques miettes devant la maison. Sophie surveille et tape dans ses mains pour effrayer tous ces affamés.
Les oiseaux sont très occupés à faire un nid sur le toit de la maison. Ils ne partiront pas facilement.
Elle dépose sur le sol quelques miettes de gâteaux assez loin de sa bordure. Comme ça, pense-t-elle ils ne viendront pas picorer mes graines.  C'est long à pousser et chaque jour, avec patience,  Sophie protège son petit jardin des lancers de ballon de son petit frère, l'arrose, enlève quelques vilaines herbes qui n'ont rien à voir avec les belles fleurs attendues; elle encourage même le soleil à venir chauffer cette petite terre qui doit changer l'allure de sa maison.
Depuis quelques jours déjà, il fait beau, un doux soleil perce les nuages pour réchauffer la nature et c'est comme si un voile de verdure s'étalait devant la maison. La terre disparaît peu à peu sous les jeunes pousses vertes. Et puis, devinez ce qui pointe son nez en premier? 
Quelques petites clochettes de muguet parfumé: les racines que maman n'avait pas eu le temps de planter. C'est merveilleux. Sophie est heureuse et contemple son petit jardin comme un coin de paradis.  

Questionnaire

1) Où habite Sophie ?
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2) Quel est le rêve de Sophie ?
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3) Quels sont les outils utilisés ?
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4) Est-ce que les moutons sont un réel danger pour les plantations de Sophie ?
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5) Comment Sophie éloigne les oiseaux ?
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6) Quels sont les dangers qui menacent le semi de Sophie ?
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7) Quelle plante apparaît en premier dans le jardin de Sophie ?
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On a eu l'inspecteur , Francais,,compréhension

On a eu l'inspecteur

La maîtresse est entrée en classe toute nerveuse. « M. l'inspecteur est dans l'école, elle nous a dit, je compte sur vous pour être sages et faire une bonne impression. » Nous, on a promis qu'on se tiendrait bien, d'ailleurs, la maîtresse a tort de s'inquiéter, nous sommes presque toujours sages. 

« Je vous signale, a dit la maîtresse, que c'est un nouvel inspecteur, l'ancien était déjà habitué à vous, mais il a pris sa retraite... » Et puis, la maîtresse nous a fait des tas et des tas de recommandations, elle nous a défendu de parler sans être interrogés, de rire sans sa permission, elle nous a demandé de ne pas laisser tomber des billes comme la dernière fois que l'inspecteur est venu et qu'il s'est retrouvé par terre, elle a demandé à Alceste de cesser de manger quand l'inspecteur serait là et elle a dit à Clotaire, qui est le dernier de la classe, de ne pas se faire remarquer. Quelquefois je me demande si la maîtresse ne nous prend pas pour des guignols. Mais, comme on l'aime bien, la maîtresse, on lui a promis tout ce qu'elle a voulu. La maîtresse a regardé pour voir si la classe et nous nous étions bien propres et elle a dit que la classe était plus propre que certains d'entre nous. Et puis, elle a demandé à Agnan, qui est le premier de la classe et le chouchou, de mettre de l'encre dans les encriers, au cas où l'inspecteur voudrait nous faire une dictée. Agnan a pris la grande bouteille d'encre et il allait commencer à verser dans les encriers du premier banc, là où sont assis Cyrille et Joachim, quand quelqu'un a crié : «Voilà l'inspecteur! » Agnan a eu tellement peur qu'il a renversé de l'encre partout sur le banc. C'était une blague, l'inspecteur n'était pas là et la maîtresse était très fâchée. «Je vous ai vu, Clotaire, elle a dit. C'est vous l'auteur de cette plaisanterie stupide. Allez au piquet! » Clotaire s'est mis à pleurer, il a dit que s'il allait au piquet, il allait se faire remarquer et l'inspecteur allait lui poser des tas de questions et lui il ne savait rien et il allait se mettre à pleurer et que ce n'était pas une blague, qu'il avait vu l'inspecteur passer dans la cour avec le directeur et comme c'était vrai, la maîtresse a dit que bon, ça allait pour cette fois-ci. Ce qui était embêtant, c'est que le premier banc était tout plein d'encre, la maîtresse a dit alors qu'il fallait passer ce banc au dernier rang, là où on ne le verrait pas. On s'est mis au travail et ça a été une drôle d'affaire, parce qu'il fallait remuer tous les bancs et on s'amusait bien et l'inspecteur est entré avec le directeur.
On n'a pas eu à se lever, parce qu'on était tous debout, et tout le monde avait l'air bien étonné. «Ce sont les petits, ils... ils sont un peu dissipés» a dit le directeur. «Je vois, a dit l'inspecteur, asseyez-vous, mes enfants.» On s'est tous assis, et, comme nous avions retourné leur banc pour le changer de place, Cyrille et Joachim tournaient le dos au tableau. L'inspecteur a regardé la maîtresse et il lui a demandé si ces deux élèves étaient toujours placés comme ça. La maîtresse, elle a fait la tête de Clotaire quand on l'interroge, mais elle n'a pas pleuré. « Un petit incident... » elle a dit. L'inspecteur n'avait pas l'air très content, il avait de gros sourcils, tout près des yeux. « Il faut avoir un peu d'autorité, il a dit. Allons, mes enfants, mettez ce banc à sa place. » On s'est tous levés et l'inspecteur s'est mis à crier :« Pas tous à la fois : vous deux seulement! » Cyrille et Joachim ont retourné le banc et se sont assis. L'inspecteur a fait un sourire et il a appuyé ses mains sur le banc. « Bien, il a dit, que faisiez¬vous, avant que je n'arrive? »« On changeait le banc de place » a répondu Cyrille. « Ne parlons plus de ce banc! a crié l'inspecteur, qui avait l'air d'être nerveux. Et d'abord, pourquoi changiez-vous ce banc de place? »« À cause de l'encre » a dit Joachim. « L'encre ?» a demandé l'inspecteur et il a regardé ses mains qui étaient toutes bleues. L'inspecteur a fait un gros soupir et il a essuyé ses doigts avec un mouchoir.
Nous, on a vu que l'inspecteur, la maîtresse et le directeur n'avaient pas l'air de rigoler.
 On a décidé d'être drôlement sages.
«Vous avez, je vois, quelques ennuis avec la discipline, a dit l'inspecteur à la maîtresse, il faut user d'un peu de psychologie élémentaire», et puis, il s'est tourné vers nous, avec un grand sourire et il a éloigné ses sourcils de ses yeux. « Mes enfants, je veux être votre ami. Il ne faut pas avoir peur de moi, je sais que vous aimez vous amuser, et, moi aussi, j'aime bien rire. D'ailleurs, tenez, vous connaissez l'histoire des deux sourds : un sourd dit à l'autre : tu vas à la pêche? et l'autre dit : non, je vais à la pêche. Alors le premier dit : ah bon, je croyais que tu allais à la pêche. » C'est dommage que la maîtresse nous ait défendu de rire sans sa permission, parce qu'on a eu un mal fou à se retenir. Moi, je vais raconter l'histoire ce soir à papa, ça va le faire rigoler, je suis sûr qu'il ne la connaît pas. L'inspecteur, qui n'avait besoin de la permission de personne, a beaucoup ri, mais comme il a vu que personne ne disait rien dans la classe, il a remis ses sourcils en place, il a toussé et il a dit : « Bon, assez ri, au travail. » « Nous étions en train d'étudier les fables, a dit la maîtresse, Le Corbeau et le Renard. »« Parfait, parfait, a dit l'inspecteur, eh bien continuez. » La maîtresse a fait semblant de chercher au hasard dans la classe, et puis, elle a montré Agnan du doigt :« Vous, Agnan, récitez-nous la fable. » Mais l'inspecteur a levé la main. « Vous permettez ?» il a dit à la maîtresse, et puis, il a montré Clotaire. « Vous, là-bas, dans le fond, récitez-moi cette fable. » Clotaire a ouvert la bouche et il s'est mis à pleurer. 
« Mais, qu'est-ce qu'il a?» a demandé l'inspecteur. La maîtresse a dit qu'il fallait excuser Clotaire, qu'il était très timide, alors, c'est Rufus qui a été interrogé. Rufus c'est un copain, et son papa, il est agent de police. Rufus a dit qu'il ne connaissait pas la fable par coeur, mais qu'il savait à peu près de quoi il s'agissait et il a commencé à expliquer que c'était l'histoire d'un corbeau qui tenait dans son bec un roquefort. 
«Un roquefort?» a demandé l'inspecteur, qui avait l'air de plus en plus étonné. « Mais non, a dit Alceste, c'était un camembert. » « Pas du tout, a dit Rufus, le camembert, le corbeau il n'aurait pas pu le tenir dans son bec, ça coule et puis ça sent pas bon !» « Ça sent pas bon, mais c'est chouette à manger, a répondu Alceste. Et puis, ça ne veut rien dire, le savon ça sent bon, mais c'est très mauvais à manger, j'ai essayé, une fois. » « Bah ! a dit Rufus, tu es bête et je vais dire à mon papa de donner des tas de contraventions à ton papa! » Et ils se sont battus.
Tout le monde était levé et criait, sauf Clotaire qui pleurait toujours dans son coin et Agnan qui était allé au tableau et qui récitait Le Corbeau et le Renard. La maîtresse, l'inspecteur et le directeur criaient « Assez! » On a tous bien rigolé.
Quand ça s'est arrêté et que tout le monde s'est assis, l'inspecteur a sorti son mouchoir et il s'est essuyé la figure, il s'est mis de l'encre partout et c'est dommage qu'on n'ait pas le droit de rire, parce qu'il faudra se retenir jusqu'à la récréation et ça ne va pas être facile.
L'inspecteur s'est approché de la maîtresse et il lui a serré la main. «Vous avez toute ma sympathie, Mademoiselle. Jamais, comme aujourd'hui, je ne me suis aperçu à quel point notre métier est un sacerdoce. Continuez! Courage! Bravo! » Et il est parti, très vite, avec le directeur.
Nous, on l'aime bien, notre maîtresse, mais elle a été drôlement injuste. C'est grâce à nous qu'elle s'est fait féliciter, et elle nous a tous mis en retenue!
  

Questionnaire
1) Pourquoi la maîtresse est toute nerveuse ?
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2) Pourquoi c’est un nouvel inspecteur ?
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3) Pourquoi Agnan renverse l’encre de la bouteille ?
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4) Pourquoi les élèves n’ont pas besoin de se lever quand l’inspecteur entre dans la classe ?
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5) Pourquoi les élèves ne rient pas à l’histoire drôle de l’inspecteur ?
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6) Pourquoi l’inspecteur souhaite interroger Clotaire ?
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7) Pourquoi Alceste et Rufus se sont battus ?
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8) Pourquoi l’inspecteur encourage la maîtresse ?
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Mamie se met à l'ordinateur,Francais,,compréhension

Mamie se met à l'ordinateur

Mamie n'est pas particulièrement moderne. 
Elle a peur de retirer de l'argent avec une carte bleue, elle s'est arrêtée de conduire parce que les gens vont trop vite, elle déteste la musique techno. 
Ce qu'elle aime, c'est se promener à pied, écouter des disques classiques, lire des tas de livres.

Alors, quand elle a dit qu'elle voulait se mettre à l'ordinateur et s'abonner à Internet, personne ne l'a vraiment crue!
D'ailleurs, Gilbert, son mari, n'y tenait pas tellement: "Voyons, qu'est-ce qu'on ferait d'un truc pareil? Ça prend de la place, tu sais! Et puis, tu serais fourrée là-dedans du matin au soir, je ne te verrais plus, ça serait gai! 
- Mais non, répond Mamie! Tu t'y mettrais, toi aussi! Ce serait commode pour tes comptes, pour tes lettres importantes, et même pour écrire à nos amis qui se plaignent toujours de tes pattes de mouche, là, ils n'auraient plus rien à dire! 
Et puis, quand nous serons branchés sur Internet, nous verrons des choses fantastiques! Ca te plairait, j'en suis sûre." 
Gilbert n'est pas convaincu, mais comme il aime beaucoup Paulette, il pense qu'elle a peut-être raison. De toute façon, il faut tâcher d'être dans le vent, ne serait-ce que pour les petits-enfants. Il compte donc ses économies, il se renseigne, il compare les prix, et un beau jour, hop, il fait sa commande. Il a choisi un appareil complet. 
On peut écrire, dessiner, imprimer, parler, chanter, reproduire des photos, envoyer et recevoir des messages, chercher des adresses, s'amuser avec des jeux électroniques... c'est formidable. !
Quand Mamie reçoit ce cadeau magnifique pour son anniversaire, elle n'en croit pas ses yeux, elle saute au cou de Gilbert, elle veut commencer de suite. 
L'installatrice fait ensuite une démonstration: tout est simple, ça va aller comme sur des roulettes. 
"Maintenant, je vous emmène sur Internet, qu'est-ce que vous souhaitez voir?"
- Chez des amis, j'ai vu un site avec un hibou, ça m'avait bien plu... 
La page s'éclaire, la chouette apparaît. Dans un coin, quelque chose clignote: Il y a une conversation virtuelle, ça, c'est intéressant.
- Une conversation virtuelle s'étonne Mamie... 
- Oui, on se parle avec des mots, mais au lieu de les dire, on les tape et ils apparaissent à l'écran.
Un dialogue, en effet, semble avoir commencé. Chaque interlocuteur se présente et parle à tour de rôle.  
Restée seule, pendant que Gilbert est sorti faire du vélo, Mamie se sent un peu inquiète.
Va-t-elle savoir se débrouiller? D'un doigt prudent, elle met l'appareil en marche, miracle! Le tableau s'allume, que choisir? 
Du dessin, pourquoi pas? 
Mais la souris ne va pas où on veut, elle file en zig zag. Mamie s'impatiente: "clic! clic!"... 
C'est difficile, on va laisser ça. Mieux vaudrait peut-être écrire. Après quelques émotions, Mamie a tapé une belle lettre pour sa petite-fille Joséphine dont c'est bientôt l'anniversaire.
Elle aurait bien aimé ajouter un petit chien,  mais elle sent que pour l'instant, c'est au-dessus de ses capacités. Maintenant, il faut imprimer... Oui, c'est là! Voilà, c'est mis! 
Mais un autre message apparaît: "Quel document voulez-vous imprimer?" Sont-ils bêtes ... On m'avait bien dit que les ordinateurs étaient bêtes pense Mamie! 
Mais voyons, c'est la lettre pour Joséphine, que je veux imprimer.
Ah, elle n'a pas fini d'avoir des surprises Mamie!


Questionnaire :

1) Pourquoi mamie n’est pas moderne ?
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2) Pourquoi mamie souhaite que son mari se mette à l’ordinateur ?
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3) A quelle occasion mamie reçoit-elle son cadeau ?
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4) Qu’est ce qu’une conversation virtuelle ?
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5) Pourquoi mamie ne réussit pas à faire un dessin?
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6) Quel travail préfère-t-elle faire?
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7) Pourquoi mamie pense que les ordinateurs sont bêtes ?
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Grammaire : la phrase négative -Classe de CE1

1- Ecris si les phrases sont affirmatives ou négatives 
(entoure les mots de la négation)
Exemple : Laura joue au ballon. - affirmative
Les enfants ne font plus de bruit. ………………………………………………
Cet ordinateur ne fonctionne jamais. ………………………………………………
La nuit, tous les chats sont gris.  ………………………………………………
 Je n’aime pas les épinards.  ………………………………………………
Tu arrives toujours en retard.  ………………………………………………
2 - Transforme les phrases en phrases négatives-Entoure les mots de la négation
Elodie joue à la corde.
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Son père est parti en Italie.
------------------------------------------------------------
Il a de la chance.
-------------------------------------------------------------
3-  Transforme les phrases en phrases affirmatives
Mélissa n’a pas peur des souris.
-------------------------------------------------------------
Nous ne voulons pas de bonbons.
-------------------------------------------------------------
Je n’aime pas les courgettes.
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Grammaire : Les accords sujet/verbe- Classe de CE1

Grammaire : Les accords sujet/verbe

cadre le verbe en rouge et souligne le groupe sujet en bleu :

Les jours rallongent au printemps
Un grand oiseau vole dans le ciel bleu.
Marc et Antoine se promènent en vélo.

 Relie les sujets au verbe qui convient
Laura
Les girafes                                     mange.
Le maître                                        mangent.
Les fillettes
Romain et Julien

Complète les verbes par « e » ou « ent »
La fillette caress…… les chiots.
Les enfants nag…….. dans la piscine.
Les élèves rang…….. leur matériel.
Pauline rang…… sa chambre.
Le petit chiot cherch…….. sa balle.
J’aime…… jouer aux échecs.

Colorie le sujet qui convient
C’est dans son terrier que le lièvre – les lièvres se cachent.
Le chat – Les chats attrape les souris.
Mon frère – Mes frères répare son vélo.
Ma maman – Mes parents vont au théâtre.

Récris chaque phrase avec son nouveau sujet
Le chien ronge un os.
Les chiens…………………………………………………
La petite fille saute à la corde.
Léa et Sacha………………………………………………………
Nous regardons un dessin animé.
Alex …………………………………………………………

الثلاثاء، 19 نوفمبر 2019

Valentine’s Day,Reading Comprehension

 MARGARET’S VALENTINES
Margaret and her three closest friends always exchange valentine cards on Valentine’s Day. It is a great way to tell each other how much they love and value their friendship.
Last week, Margaret went to several different stationery stores looking for special valentine cards for her friends Kelsey, Jenna, and Ashley. Margaret likes all the girls equally, but for different reasons. She wanted to find a card for each friend that was personal, and she wanted the cards to also look sort of the same. Margaret spent over an hour looking at cards, but she could not
find three cards that were right.
Margaret had a great idea. She would make valentine cards for each of her friends. Then the cards would definitely be personal, and Margaret would also be in charge of making sure the cards were fair.
But how do you make valentines cards? Margaret wasn’t sure. She
remembered hearing somewhere about “Victorian Valentines” –valentines that were handmade over a hundred years ago. She used the Internet to find out more about these cards. She made notes for all the materials she would need and went back to the stationery store to get supplies.
Margaret bought construction paper, a pack of markers, some white paper doilies, and a sheet of wrapping paper that looked like roses.
Margaret spent several hours working on the valentine cards. She used the colored construction paper for the base of the card. She cut out pictures of roses from the wrapping paper and glued them to the construction paper. She glued them in different places on each card.
She used the paper doilies as frames around the roses. 
She used the markers to write a short poem inside each card.
That night at dinner, Margaret showed her family the cards she had made for her friends. Even her brother thought they were great, and he almost never thinks Margaret’s ideas are great. Margaret decided to make each of her parents a valentine card and one for her brother, too.
Margaret is really looking forward to giving her friends and family these special cards for Valentine’s Day. Margaret thinks she might also like to do some more research into how the Victorians celebrated birthdays.

ANSWER THE QUESTIONS 
1. This story is mainly about _______________.
a. a girl with a mean brother.
b. a girl and her valentine’s cards.
c. a boy who makes valentines.
d. none of these
2. Margaret’s problem in this story was __________.
a. she hated school.
b. she wanted to make a card for her parents.
c. she could not find good valentine cards for her friends.
d. She could not find her brother at the mall.
3. Which of the following did Margaret NOT buy?
a. valentine cards
b. markers
c. construction paper
d. paper doilies
4. Where did Margaret find information to help her make the valentines?
a. a bookstore
b. the card shop
c. the dictionary
d. the Internet
5. Which of the following IS true?
a. Margaret had three sisters to buy cards for.
b. Margaret’s mother helped her make valentines.
c. Margaret’s brother liked the cards she made.
d. Margaret made cards for everyone in her class.
6. Why did Margaret and her friends exchange valentine cards each year?
a. They liked to celebrate their friendship.
b. They were the same age.
c. They were in the same class each year.
d. None of these
7. What did Margaret do to solve her problem?
a. She gave her friends heart-shaped cookies.
b. She had her friends over for a party.
c. She did not give cards to her friends.
d. She made valentine cards for her friends.
  Use complete sentences to answer the questions below.
1. Describe an experience or situation in your life that is similar to Margaret shopping for valentine cards for her friends.
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2. From the way it is used in the story what do you think is the meaning of stationery?
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3. What do you believe will be the result of Margaret making valentine cards instead of buying them?
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4. Imagine you are one of Margaret’s friends. Describe how you would feel to receive a handmade card.
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5. What sentence in the text best shows that Margaret’s family liked her cards?
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correction : 
Multiple-choice
1. b
2. c
3. a
4. d
5. c
6. a
7. d
Short-answer
1. Answers will vary. Accept appropriate answers.
2. stationery = writing materials
3. Answers will vary. Accept appropriate answers.
4. Answers will vary. Accept appropriate answers.
5. “Even her brother thought they were great, and he almost never
thinks Margaret’s ideas are great.”

الاثنين، 18 نوفمبر 2019

L’histoire du ski, Francais ,compréhension

En Norvégien, le mot ski signifiait bûche car ils étaient taillés dans le bois à coup de hache. Confrontés à un enneigement quasi permanent, les hommes préhistoriques inventèrent le ski. En quête de nourriture, ils avaient besoin de se déplacer sur la neige. On a découvert dans un marécage suédois un fragment de bois de pin ressemblant à un ski actuel et qui serait vieux de 4000 ans. Les skis de cette époque étaient constitués de 2 planches de bois d’environ 15 cm de large pour 2 m de long, assorties d’un bâton unique, une forme de pelle allongée, pour se propulser à la manière des gondoliers. Ce bâton servait aussi probablement de lance. Les skieurs utilisaient leur matériel pour parcourir de longues distances sur la neige.

Des skis longs et effilés, proches des skis de fond actuels, étaient réservés aux longs parcours. D’autres, plus courts et plus larges, avec une pointe recourbée et parfois une semelle de fourrure, permettaient d’approcher silencieusement le gibier. Percés de 4 trous, les skis se fixaient probablement aux pieds par des lanières. Le talon libre de bouger permettait de marcher tout en glissant.

Vers le X° siècle, la pratique se diffuse largement en Norvège et en Suède.
Les Scandinaves et les Russes ont continué à se servir des skis pour : la chasse et la quête de nourriture, la guerre dès le XV° siècle et le transport du courrier au XIX° siècle.
En 1866, les habitants du petit village suédois de Télémark organisent une grande compétition de ski qu’ils dominent grâce à leur technique du virage, le fameux Télémark. La descente se fait alors avec le talon libre, ce qui permet d'exécuter des virages harmonieux dits « virages télémark ».
En 1888, le ski est révélé au monde par l’explorateur Suédois Nansen qui réussit la première traversée du Groenland d’Est en Ouest.
En 1896, le premier club de ski français est fondé, c’est le Ski Club Alpin.
Les militaires sont d’abord réticents vis à vis du ski, ils préfèrent les raquettes. Mais le phénomène gagne aussi l’armée et en 1903 le ministre de la guerre crée à Briançon la première école militaire de ski. Plus de 5000 skieurs militaires y seront formés jusqu’en 1914, par des instructeurs souvent originaires de Norvège. Le régiment contribuera aussi à répandre la pratique du ski parmi les populations montagnardes, en cédant gratuitement des paires de skis aux villageois des hautes vallées.
Dès 1907, Abel Rossignol, un artisan menuisier, crée un atelier de fabrication. Il utilise le frêne, le pin et le mélèze, très répandus dans les Alpes. Le ski devient alors la principale attraction des sports d’hiver.
Les premiers jeux olympiques d’hiver ont lieu à Chamonix en 1924.
En 1964, il faut noter l’invention du snowboard, adaptation du surf sur eau.
Entre 1950 et 1970, le ski explose et les stations poussent comme des champignons, parfois même au cœur de la haute montagne. C’est en 1973 que seront installés à Flaine, les premiers canons à neige.

Questionnaire
Date du plus vieux ski découvert ?
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Combien de bâtons utilisait-on à l’époque de la préhistoire ?
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A quoi servaient les 4 trous percés dans les skis primitifs ?
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Pourquoi on utilisait une semelle de fourrure ?
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A quoi servaient les skis vers le Xème siècle ?
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Quel village suédois a donné son nom à une technique de virage ?
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Quand a été crée la première école militaire de ski en France ?
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Citer le nom d’un fabricant de ski au début du XX ème siècle
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Quand et où ont eu lieu les premiers Jeux Olympiques d’hiver ?
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De quand date l’invention du snowboard ?
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Cueillette de champignons, Francais, Analyse de texte,compréhension



Placide, Fifi, l'Étincelle et Gitou sont 4 élèves du cours moyen ; les trois premiers sont surnommés « les gangsters », car on ne compte plus leurs bêtises...
 Quoi de plus capricieux qu'un champignon comestible ? Les champignons vénéneux n'y vont pas par quatre chemins : ils naissent bien en vue, et bleus, rouges, jaunes, se font une tapageuse et souriante réclame d'enseignes lumineuses, quitte à verdir de rage sous le coup de bâton qui les fait voler en éclats. Mais les champignons comestibles, rares et modestes, se cachent sous les fougères, s'aplatissent dans les ajoncs, recherchent l'ombre du sous­bois, semblent pressentir la poêle et la conserve... C'est pourquoi personne ne crut à l'excellence des deux beaux cèpes qui, certain matin, naquirent au beau milieu des prés, non loin du sentier. C'étaient deux cèpes couleur d'écorce de châtaigne, au chapeau bien rond, au ventre de velours gris, campés sur des pieds renflés comme des poires et qui se tenaient collés à la manière des soeurs siamoises. Ils étaient fermes, et si frais, si odorants, que toutes les limaces s'étaient mises à converger vers eux en rampant ; mais nulle bouche visqueuse n'avait encore découpé la moindre rondelle dans leur peau toute neuve.

Celui qui tout d'abord les vit, fut M. le curé ; son premier mouvement fut d'aller les cueillir ; son second fut de rester. Il pensa
- Non, ce n'est pas possible ! Ils sont mauvais. Les champignons comestibles ne s'offrent pas ainsi à la main du pécheur. Bonne graine est rare ici-bas, et mauvaise graine tôt venue.
Le second passant fut une vieille miséreuse appelée Margaretoune. Elle les vit et grogna
- Non, ce sont des champignons du diable qui veulent m'attraper. Je n'ai jamais eu de chance, moi, et ce serait bien la première fois ! Le troisième fut M. Sabahu, qui allait pêcher. Il se dit - Ce sont des bolets Satan ; cette saleté-là pousse partout. Le directeur des services agricoles m'assurait encore, il y a huit jours, que les cèpes ne naissent jamais dans les prés.
Le quatrième passant fut une demoiselle de village endimanchée qui allait à une noce. Elle vit bien que c'étaient de beaux et bons champignons, mais elle ne voulut pas salir ses petits souliers et ses jolis bas de soie artificielle dans l'herbe humide de rosée naturelle. Le cinquième fut le père Chalumeau, un vieil avare toujours en procès avec Pierre et Paul. Il les reconnut, eut envie de les cueillir. Mais apercevant son ennemi le meunier à la fenêtre du moulin, à deux cents mètres de là, il n'osa pas entrer dans un pré lui appartenant, pour cueillir son bien à sa barbe. Il projeta donc de les prendre en repassant.
Le sixième fut Mâcle, l'homme le plus riche du pays, grand fabricateur de salaisons ; mais il était fort myope, s'étant usé les yeux à compter ses jambons suspendus aux solives, crainte qu'on ne lui en vole, et il crut qu'il s'agissait d'une montagnette de terre brune, fraîchement poussée sur le pré par le nez d'une taupe. Le septième fut un autre myope, un vieux berger qui s'était perdu la vue à force de surveiller son troupeau de trop près ; en voyant ces taches brunes sur l'herbe, il pensa :
- Tiens : le meunier a donc déjà mis ses bêtes au pacage ?
Et les huitième, neuvième, dixième et onzième furent nos gangsters. Ils allaient à la chasse aux taupes, M. Sabahu leur en ayant demandé une pour sa prochaine leçon de choses. En apercevant, de loin, les champignons le premier, Placide pensa : - Ils ne valent rien. Je vais attraper l'Fifi. Il lui dit donc :
- Fifi, va vite cueillir ces gros champignons. Fifi, méfiant, lui répondit :
- Et toi, pourquoi n'y vas-tu pas ?
- Nous en avons tellement mangé, dit Placide, que ma mère ne peut plus les voir en peinture.
- Chez nous, répondit l'Fifi, nous n'aimons que les champignons de Paris. Vas-y, l'Étincelle.
- Non, dit l'Étincelle, qui se tenait en garde aussi, qu'est-ce que nous en ferions ? Chez nous, on mange en ce moment un pot de confit qui allait se gâter, et les morceaux sont si gros qu'on ne peut pas mettre de légumes dans la poêle. Vas-y, Gitou, ta mère sera bien contente.
En effet, pensa le naïf Gitou, dont la malice avait parfois d'étranges assoupissements, en effet, ma mère sera bien contente ! Et il y alla. Les autres, pouffant de rire dans son dos, se donnant de grands coups de coude dans les côtes et se tortillant de joie, menèrent une pantomine silencieuse jusqu'au moment où il les eut cueillis. Alors, ils éclatèrent en dérision !­
- Gitou ! Gitou ! Niguedouille ! Jean le Sot ! Te voilà bien attrapé ! Ce sont des champignons du diable ! Non point : c'étaient de magnifiques cèpes. Gitou le reconnut, comprit quel piège on avait cru lui tendre, et, les ayant mis dans son tablier retroussé en besace, fila de toute la force de ses jambes. Il filait ainsi parce qu'en d'analogues circonstances, il lui était advenu d'être dépouillé de sa trouvaille, ou tout au moins réduit à la partager.
Les trois gangsters restaient muets, cloués sur place de surprise. Quand Gitou eut pris assez d'avance, il cria : - Ils sont bons ! Ils sont bons !
Alors les gangsters se mirent à sa poursuite. Trop tard ! Il rentra dans sa maison comme un rat dans son trou.
Les cèpes pesaient trois livres. Le soir même, la famille Mesnier pensa se régaler d'une omelette immense et délicieuse. Malheureusement, le père de Gitou, en la retournant lui-même dans la poêle de peur que sa femme ne la répande sur le plancher, la colla bravement au plafond.





Questionnaire

Pourquoi personne ne croit à l'excellence des deux beaux champignons ?
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Qui vit le premier les champignons ?
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Pourquoi « Margaretoune » ne cueille pas les champignons ?
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Pourquoi M. Sabahu ne ramasse pas les cèpes ?
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Pourquoi « Mâcle » confond  les champignons avec des mottes de terre?
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Pourquoi aucun « gangster » ne veut aller cueillir les champignons ?
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Pourquoi veulent-ils envoyer Gitou ?
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Pourquoi la famille Mesnier ne peut pas se régaler d'une omelette immense ?
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voir aussi :
Sara et monsieur Hiver ,Francais, Analyse de texte

Sara et monsieur Hiver ,Francais, Analyse de texte

 Ca y est : le bonhomme hiver est arrivé.
Il s’installe tout là-haut dans le ciel et regarde en bas, c’est un beau jour pour lui : Les arbres ont perdu leurs feuilles, le vent souffle fort, la pluie mouille tout, monsieur soleil est tout pâle et va bientôt se coucher.
Content, monsieur l’HIVER se roule dans un gros nuage et se prépare à dormir, dormir…C’est un gros paresseux et tous les ans, c’est la même chose, il dort jusqu’à ce que mademoiselle printemps vienne lui chatouiller les pieds.
Sara a mis son manteau, ses bottes, son écharpe, son bonnet : 
« Je vais dans le jardin. 
- Non, non, ma chérie, tu ne sors pas, il fait bien trop mauvais. »
Maman enlève le manteau de Sara.

« Tu ne veux pas faire un dessin ? Ou jouer avec la poupée que le Père Noël t’a apportée ?… dit maman doucement.
- Non, je veux aller dehors. Je veux courir, jouer et crier …
- Ce n’est pas possible, Sara, il pleut, il y a de la boue partout. Regarde, il fait presque noir.
- Pourquoi ?
- Parce que c’est l’hiver. »
C’est vrai, dehors, on ne voit plus les couleurs, juste l’ombre du toboggan. Dans la rue, les lampadaires s’allument un à un. A la maison aussi, maman fait de la lumière. 
Au moment de se coucher, Sara se relève et pousse le rideau de la fenêtre: la vitre est toute froide avec de la buée. Sara fait un bonhomme avec son doigt. 
« Monsieur l’hiver, s’il te plait, je voudrais aller jouer dans le jardin… » 
Puis très vite, elle retourne dans le lit bien chaud et s’endort.
Le bonhomme hiver regarde le dessin de Sara sur la vitre froide. Il est triste : quand il arrive, tout le monde s’en va. Les grandes personnes râlent et les enfants doivent rester dans les maisons. Pourtant, il adore les enfants lui aussi !
Soudain, il a une idée : Il donne un grand coup de point dans le nuage qui lui sert d’oreiller. Toutes les plumes blanches volent, volent et tombent sur la terre dans le jardin de Sara : c’est la neige ! 
Mais ça ne suffit pas, alors il craque un autre nuage, et un autre et un autre jusqu’au dernier, jusqu’à ce que toute la ville soit recouverte d’un beau manteau blanc. Quand monsieur soleil se lève le lendemain matin, il est très étonné : il n’y a plus de nuages mais un beau ciel bleu. Tout heureux, Il se met à briller de toutes ses forces sur la neige qui scintille comme des étoiles.
Pendant ce temps-là, maman entre dans la chambre de Sara et tire les rideaux :
« Regarde, Sara, quelle belle lumière ! Viens vite, ma chérie, viens voir.
Sara s’approche, à moitié endormie :
« C’est tout blanc ! dit –elle, les yeux ébahis.
- C’est la neige ! Dépêche-toi de t’habiller, tu vas enfin pouvoir sortir !
- Chouette !»
Tous les enfants sont dehors et jouent : Ils font des batailles de boules de neige et des bonshommes, ils glissent sur les luges dans les allées en pentes…Quelle fête ! Le bonhomme hiver, lui, est ravi. Il s’est glissé dans un petit flocon qui flotte jusque dans le jardin de Sara, jusque sur la main de la petite fille. Elle le regarde un instant puis se met à danser, heureuse, dans la belle neige blanche.

Sabine D'Halluin

Questionnaire

1. Quels sont les éléments de la nature qui montrent que Monsieur Hiver est bien arrivé ?
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2. Pourquoi Sarah ne peut pas aller dans le jardin ?
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3. Qu’est ce que le Père Noël a apporté à Sarah ?
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4. Qu’est ce que Sarah demande à monsieur  Hiver ?
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5. Sur quoi Sarah écrit son message à monsieur Hiver ?
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6. Pourquoi monsieur Hiver est triste ?
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7. Comment monsieur Hiver crée la neige ?
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8. Qui se retrouve très étonné le lendemain matin ?
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9. Quels sont les jeux organisés par les enfants ?
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10. A l’intérieur de quoi s’est glissé monsieur Hiver pour visiter le jardin de Sarah ?
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HOW TO SKATEBOARD,Comprehension Worksheet

 Skateboarding is exhilarating - you can move quickly and fly through the air! Before you can do amazing tricks in the air, though, you need to learn the basics of skateboarding, and be prepared for a lot of trial and error.

The first thing you need to do is get a skateboard. It’s probably best to talk with a skateboarder to find a store that sells good quality skateboards, not just toys. Many skateboarders create their own “setup,” but for your first board, someone at a skate shop should be able to help you. A helmet, elbow pads, knee pads, and wrist guards are important to get, as well. It is better to wear all of those than to hurt yourself! Once you are ready to learn tricks, you might also need to buy some skate shoes.
Then you’ll need to find a place to skateboard. An empty parking lot (with a safe adult around) or your driveway are good places to start. Skate parks are popping up in many towns now, so try to find one near you! Wherever you go, though, make sure it’s a place where skateboarding is allowed.
There are some basic movements you’ll need to learn in order to
skateboard. The first movement is to find your stance. Most skateboarders put their left foot towards the front of the board and use their right foot to push themselves. If you’re left-handed, you might want to try standing in a “goofy” stance, with your right foot towards the front of the board and using your left foot to push. Make sure your foot isn’t all the way at the front of the board, or it will tip forward.
Next, you’ll want to practice how to push off the ground and glide along on the board. Make sure most of your weight is over your front foot so that you can balance as your back foot pushes. Push off of your back foot and balance as the board moves. Balancing on the board as it’s moving might take some time to get used to, so make sure you’re comfortable balancing before you move on! 
 Once you get used to balancing with your weight over your front foot, you can practice shifting your weight while you’re on the moving skateboard. 
After you push off, practice putting your back foot on the board and shifting your weight so that you have equal weight in each foot. Then practice shifting your weight back over your front foot so that you can push with your back foot again.
Braking is another important movement. You use your back foot to brake, just like you use it to push. Let the bottom of your back foot drag along the ground to slowly bring you to a stop. Make sure you are moving slowly at first so that you get better at judging how much force you need to put on your back foot to brake.
Last, practice how to get off the board. Once your board is stopped, with your back foot on the ground, transfer your weight to your back foot and take your front foot off the board. Ta-da! You took your first ride on a skateboard! Keep practicing all of these basic movements slowly, until you’re very comfortable doing them. Then, try them at a faster speed. Once you’re confident in these basic moves, then you can start to learn cool tricks! Make sure that you’re always wearing your protective gear, and that there is an adult nearby in case you fall. Happy skateboarding!

Answer each question:
1. What are the basic movements for skateboarding?
2. Name another sport that is similar to skateboarding. How are they similar? 
 3. What does “exhilarating” mean in the 1st paragraph? How do you know?
4. Look at the 1st paragraph. Why do you think it says “be prepared for a lot of trial and error”?
5. Do you think skateboarding would be an activity you’d like to try? Why or why not?

( محو الامية المالية Financial literacy)

 هل ترغبون في معرفة المزيد عن المال وكيفية التعامل معه بذكاء؟ اليوم سنتعلم سوياً كيف نكون أذكياء مالياً  اليوم سندخل في رحلة ممتعة إلى عالم ...